Susan Hopper Tome 2 les Forces fantômes - Anne Plichota et Cendrine Wolf


Avis



4e de couverture



Après des années passées dans un orphelinat écossais, Susan a enfin réussi à trouver une famille qu'elle aime. Mais bien vite, le passé revient hanter ses nuits. Or, pour Susan, les cauchemars ne sont pas sans conséquences et c'est Eliot, le fils unique des Hopper, qui en fait les frais. Il ne survit désormais que sous la forme d'un spectre. Pis, les fantômes des ancêtres de Susan ont emménagé non loin du manoir des Hopper. Meredith O'More leur a promis que si Susan – la dernière descendante de leur famille – mourrait, ils reviendraient parmi les vivants. Tous sont déterminés à pousser au désespoir la jeune fille afin que la malédiction s'achève enfin. Celle-ci va devoir lutter sans relâche et tuer un à un ces démons cruels. Non seulement pour sa propre survie, mais aussi pour celle d'Eliot. Heureusement, dans son combat, Susan peut compter sur l'amour de sa mère défunte, mais aussi sur celui d'Eliot, et sur celui d'Alfred, le grand-père fou au coeur tendre. Et plus inattendu, celui d'Helen, la femme au parfum perdu. 


Auteures
Voir chronique du tome 1


Je dois avouer que je me suis un peu ennuyée dans cette lecture.
Je crois que passer l'attrait de la nouveauté avec le Tome 1, je n'ai par retrouvé l'envie d'en savoir plus sur l'univers de Susan.

Le début est particulièrement poussif. Les états d'âme de Susan m'ont un peu agacé...

J'ai trouvé que les petits soucis du quotidien prenaient trop de place vis-à-vis de l'intrigue proprement dit.
Du coup, le dénouement arrive trop rapidement et je suis restée sur ma faim.

Dommage l'histoire m'avait pourtant bien attirée.


Extraits

"- Ce sera notre petit secret.

Plus que de la joie, c'est un bonheur pur qui est étreignit le cœur de la jeune fille.
Des projets d'avenir.
Un secret.
Si dérisoires soient-il.
Que pouvait-il exister de mieux entre... une mère et sa fille ?"

"Et Susan eut aussitôt l'impression qu'elle venait de salir la seule belle chose qui existait dans sa vie. Était-elle donc incapable de montrer ce qu'elle ressentait ? D'exprimer d'une façon ou d'une autre ses sentiments ? Ne pouvait-elle pas, au moins une fois, faire preuve d'un peu de spontanéité ? Dresser des plans, calculer, manipuler... C'était fini, tout ça. Sans renier ce qu'elle avait été, elle voulait changer, devenir une meilleure Susan, celle qu'elle avait refoulée pendant si longtemps. Mais, en réagissant comme elle venait de le faire, elle en était à des années-lumières. Et son coeur le lui faisait payer."

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