4e de couverture:
« Qui pourrait me croire si je racontais ? Je suis en enfer. Il crie si fort pour que je fasse ce travail, je cède, il me fait peur… s’il me voit inactive, il me tuera… »
Marie MURSKI est tombée entre les mains puissantes d’un prédateur pervers narcissique. Amoureuse, elle n’a pas vu le piège, ni le chasseur, ni l’affût. Elle décrit le processus irréversible de la violence, de la terreur, du décervelage, année après année, durant quatorze ans. Mise en esclavage, enfermée dans un jardin qui est son œuvre et dont elle finit par comprendre qu’il sera son cimetière, elle est pourtant incapable de le quitter, de s’enfuir en le laissant voué à la destruction.